[Inachevée]Fanfic RE - "Un Nouvel Empire"

arf, moi qui me suis depecher de lire...^^
j'aurais du rester fidel a moi meme

J'ai deja posté + haut mon verdict.

J'apprecie car je m'imagine bien un envirronement, froid, metalique, etroit, humide ...

Ayer j'ai enfin relu la fic en entier (lent vous croyez??) bon ben c'est du bon, ya un beau travail sur l'environnement, comme le dit metal on a pas de mal à s'imaginer les lieux et en plus d'instore un sentiment de crainte on sait pas du tout comment ça va se finir. De plus le fait qu'il y ait deux groupe j'adore.

Tu peut pas reformater ton ordi?

Les plus réussies sont en ce moment Ville Maudite et La Fin d'Umbrella.

C'était mon objectif... je veux que cette quadrilogie contienne les meilleures fics de RE du moment! Je sais, c'est un objectif assez difficile mais je pense avoir les moyens de le réussir...
Voici la suite.
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CHAPITRE 14: UNE AIDE INESPEREE

- Combien de temps sont-ils partis? Demanda Soprano non sans avoir une pointe de crainte dans sa voix.
- Bien plus d'une heure, répondit pensivement Alamda…
Bien qu'il sache que Riddick et Esposito s'en sortiraient, Alamda ne pouvait réprimer une sensation d'inquiétude. Vraisemblablement, c'était aussi le cas du jeune Davis.
- … de plus, ils ne répondent pas aux appels radios.
Le jeune bleu reprit:
- Pourtant, j'ai essayé plusieurs fois, mais sans succès… Je crains le pire.
L'Arabe n'apprécia pas cette dernière réplique et rétorqua derechef:
- Ne parle pas comme ça ou tu vas porter malheur!
- Navré…
L'ami de Riddick soupira et parla d'une voix plus posée:
- Tu as essayé de contacter ExoDeus?
- Oui, c'est la bonne nouvelle. Ils ont trouvé la cabine de pilotage et Derreck est sur le point de la mettre en marche. Le hic, c'est que le chemin y amenant est envahi de zombies…
Son vis-à-vis haussa un œil, interlocuté.
- Oui, tu as bien compris… des zombies… les ennemis dont nous ont parlé ExoDeus et Tiago. Et à nous deux, nous n'avons aucun moyen de les rejoindre.
Réprimant un autre frisson – deux en l'espace de quelques minutes, rare chez Alamda – il conclut:
- Et il t'a demandé de localiser l'autre équipe afin qu'on puisse aller ensemble à la cabine de pilotage?
- Exactement.
Un poing posé sur son front, Alamda parut songeur, et il l'était. Comment faire si Riddick et les autres restaient sourds à leurs appels? Devraient-ils se rendre par eux-mêmes à l'avant de bateau?? Inférieur au nombre et sans carte?
Non, ce serait du suicide, pourtant… la voix de Soprano le fit sortir de sa torpeur. Et ce qu’il dit était exactement ce qu’Alamda envisageait. Avait-il lu dans ses pensées ?
- Mine de rien, je trouve qu’on ferait mieux de partir à la recherche de l’équipe de Bryant, c’est toujours mieux que de crever de froid sous cette pluie de merde !!
- Ah oui ? Et comment comptes-tu faire sans carte et sans points de repères ? Rétorqua l’Arabe.
- Toi je ne sais pas mais chez nous, aux S.T.A.R.S., on a apprit à trouver notre chemin par notre seul instinct ! Il n’y a qu’à suivre les indications mentionnées tout au long des différents couloirs et le tour et joué !
Sur ces paroles, Alamda s'étonna de son admiration pour le jeune homme. Son engouement était tel que Alamda lui aussi se sentit déterminé.
Il était vrai que les gouttes de pluie inondant son visage et sa tunique l’agaçaient plus que tout, de plus, il ne fût pas habillé pour ce genre d’intempérie. A quelques pas devant eux, il avisa une porte à doubles battants, il en fit part à son collègue qui hocha la tête en signe d’approbation. Tout deux s’y dirigèrent et les franchirent. Derrière, ils débouchèrent sur une vaste et somptueuse salle. Malgré le fait que cette salle soit sans dessus dessous, on pouvait très bien imaginer qu’au demeurant elle était splendide. D’ailleurs, Soprano ne peut s’empêcher d’émettre un sifflement éloquent. Ils se tenaient sûrement dans la salle principale où se déroulaient les banquets et les bals mais la plupart des tables étaient renversées sur le sol ainsi que d’autres meubles. Des victuailles traînaient un peu partout dans la pièce ainsi que des boissons et toutes sortes d’autres choses. Des verres brisés jonchaient le sol, entourés du liquide qu’ils contenaient autrefois. Par l’appât du gain, Alamda empocha quelques billets laissés pour compte sur une table de jeu. Après avoir vérifié que tout était sans danger, ils reprirent leur chemin en passant par les cuisines. Là, c’était vraiment l’apocalypse : du sang maculait sol et murs et souillait les éviers. Une odeur de viande pourrie émanait dans toute la pièce et les deux hommes eurent presque un haut-le-cœur. L’odeur venait de l’entrepôt à viandes où des quartiers de bœuf périmés pendaient du plafond. Des mouches y tournèrent autour.
- Dégueulasse… maugréa Soprano en se ventilant le visage à l’aide de sa visière. Partons d’ici !
Alamda fut bien d’accord, l’ambiance était vraiment pesante car en plus de l’odeur nauséabonde, ils entendirent des petits bruits au-delà de la cuisine. Ils se pressèrent de sortir d’ici en prenant le temps de vérifier qu’aucun danger ne les guettait.
Ils furent soulagés de quitter cet antre de la mort et une fois hors de porté, Soprano reprit la radio et retenta un appel :
- Ici Davis Soprano, Capitaine Rick Bryant, vous m’entendez ?
Une voix apparue quelques instants après…. Et pas de très bonne humeur !
- Ouais, je vous reçois cinq sur cinq. Où êtes-vous ?
- Nous sommes dans les cuisines, on centre du bateau. Et vous ?
- Nous nous trouvons à l’arrière du bateau, dans les cales. Vous venez nous y rejoindre ?
- Affirmatif. Nous trouverons un moyen de gagner les cales.
- Alors dépêchez-vous, nous n’allons pas vous atteindre indéfiniment. Terminé.
- Compris. Terminé.
Davis raccrocha la radio et regarda Alamda.
- Ils nous attendent, ils sont dans les cales à l’arrière du bateau.
- Bien, allons vite les rejoindre.
Ils s'engagèrent dans l'un des nombreux corridors tortueux quand ils arrivèrent à un croisement… où ils ouvrirent le feu…

***

Le couloir étant enfin désert, Hunk s’y engagea. Les appartements de Nick et Shepers se trouvait dans les parages. Après quelques minutes, il découvrit enfin leur refuge. Sur leur porte était inscrit : " Si vous êtes une jeune et charmante femme, déshabillez-vous et entrez "
" Très spirituel, pensa Hunk en secouant la tête, dépité "
Il posa son oreille contre la porte et, retenant son souffle, écouta de l'autre côté. Mis à part de petits sifflements, il n'y avait rien. Prenant le risque, Hunk saisit la poignée de la porte et l'entrouvrit légèrement jusqu'à ce qu'il puisse passer la tête. Il fut soulagé de constater que les petits sifflements étaient en fait un ronflement. Les deux hommes, après avoir bien bu – de nombreuses bouteilles vides traînaient par terre et sur les tables – s'étaient pris une petite pause bien méritée après leur méfait. Hunk ouvrit la porte et pénétra sur le seuil de la pièce, des yeux, il scruta l'endroit à la recherche d'éventuelles clés. Son regard se posa sur la veste de Nick et il s'y dirigea sur la pointe des pieds non sans regarder les deux salauds.
Combien donnerait-il pour les tuer de ses propres mains?
Ne voulant pas mettre ses sentiments haineux trop en avant, Hunk détourna la tête et reporta son attention sur ladite veste. Dans sa hâte, il marcha sur une bouteille de Whisky vide qui émit un bruit sourd, s'arrêtant et priant les Dieux pour ne pas que les deux se réveillent, Hunk bloqua sa respiration...
Aucun ne bougea. Soulagé, Hunk porta sa main à la veste et en fouilla les poches.
Bingo!
Avec un grand sourire, il sortit les clés de la poche et rebroussa chemin avec la même discrétion, quitta la pièce et referma la porte. Une fois ceci fait, il s'y appuya et souffla un peu puis, sans perdre une seconde, il se dirigea vers les cellules en courant. Bizarrement, le complexe était extrêmement calme alors qu'il y a quelques heures c'était une vraie fourmilière. Haussant les épaules, il ne perdit pas de temps et arriva enfin vers le cachot de Licia. Il prit la clé mentionnée "cellules" et la fit cliqueter dans la serrure puis il ouvrit la lourde porte et entra. Il aperçut Licia, toute misérable, assise contre un l'un des recoins de l'endroit, les genoux remontés contre la poitrine entrain de chantonner et de se balancer en avant et en arrière.
Son cœur se fendit en la voyant en si mauvaise état, le visage de la jeune fit se tourna vers lui et il put apercevoir que ses yeux verts brillants d'autrefois n'étaient plus qu'un lointain souvenir...ils ne reflétaient plus rien, si ce n'est qu'une grande amertume.

***
Licia entendit une clé jouer dans la serrure, il y a quelques temps, elle se serait réfugiée tout au fond de la salle entrain de crier au secours mais à la longue, elle s'habituait et elle savait que cela ne servirait à rien... elle devait faire face à une nouvelle séance de torture ou bien... d'autre chose. Machinalement, en cet instant, elle se mettait toujours à fredonner, histoire de penser à autre chose.
Elle ne daigna même pas un jeter un regard sur le nouveau venu, à quoi bon... elle ferma juste les yeux en attendant la souffrance... mais rien ne vînt. Elle s'immobilisa, cessa de fredonner et regarda enfin l'arrivant.
C'était le mystérieux homme qui accompagnait ses deux tortionnaires... mais contrairement aux deux autres, celui-ci était différent: gentil, attentionné... c'était son protecteur, son ange gardien. Celui-ci s'avança vers elle, se baissa à sa hauteur et lui parla d'une voix douce tout en lui tendant sa main:
- Viens, prends ma main et allons faire un tour, histoire de se changer les idées.
Licia ne comprit pas ce qu'il voulait dire mais accepta néanmoins son offre, elle agrippa son bras et se releva, ses membres atrophiés lui arracha un cri étouffé de douleur, aussitôt, son protecteur l'aida à se mettre debout. Bras dessus bras dessous, ils quittèrent cette cellule froide et s'avancèrent en direction de l'ascenseur. Licia perçut que l'homme lui jetait des regards furtifs, elle pensa que c'était dû à ses nombreuses blessures. C'est vrai que rien ne lui avait été épargné: œil au beurre noir, joues pochées, front bosselé, bras et visages tailladés.
Elle n'avait vraiment plus rien de séduisant.
Tout en traversant les différents couloirs du complexe menant à l'ascenseur, Licia, toujours soutenue par l'homme, trouvait étrange qu'il n'y ait plus personne. En effet, l'endroit demeurait calme et ils se étaient les seuls. Au moins, il n'aurait aucun risque de se faire voir. L'ascenseur était enfin en vu, son protecteur pressa le bouton et au bout de quelques secondes, les portes s'ouvrirent et ils s'y engouffrèrent. La destination étant le rez-de-chaussée.

***
Quand enfin ils atteignirent le jardin artificiel du rez-de-chaussée, étrangement calme lui-aussi, Hunk profita du silence que la nuit procurait pour oublier tous ses soucis, il vit que Licia faisait de même. De l'ascenseur jusqu'ici, elle avait réussi à marcher toute seule mais par sécurité, il préférait lui prendre la main, histoire de lui faciliter la tâche. Le jardin se trouvait sous un dôme en verre d’où l’on pouvait voir le ciel. Sous la nuit étoilée, ils firent quelques pas sur le chemin sinueux à travers les jardins de fleurs, les divers arbres et les broussailles – Albert Wesker adorait cet endroit aussi bizarre que cela puisse paraître – et tout en marchant, Hunk raconta sa vie.
- Je m'appelle Hunk. A l'époque, je travaillais pour Umbrella.
A ces mots, Licia s'arrêta net, comme si elle avait reçu un coup de poignard dans le cœur.
- Quoi? S'étonna-t-elle.
Hunk avait prévu cette réaction, il la calma aussitôt.
- Je n'avais pas le choix de travailler pour eux... je l'ai fait pour ma famille. A la mort de mon père, ma mère et ma jeune sort étaient vraiment dans la misère. Il fallait que je les entretienne mais avec le salaire seul que je gagnais à cette époque, je ne pouvais pas subvenir à leur besoin...
Licia écoutait son récit avec beaucoup d'attention, quelle force de caractère émanait de cette homme, jamais il ne laisserait des êtres chers en difficulté... on aurait dit Kevin.
- ... ayant remarqué mes aptitudes au combat – j'étais policier de choc à Los Angeles – Umbrella me contacta et me parla de leur travaux. En échange de mes compétences, ils me promurent chef de leur Force Spéciale d'Umbrella et comme la paye était au-delà de mes espérances, je n'avais pas d'autre choix que d'accepter.
Voici une facette d'Umbrella que Licia ignorait... cette société permettait quand même à des gens de pouvoir s'en sortir financièrement... ah! si seulement cette organisation n'était pas impliquée dans la recherche de virus, Licia l'aurait vu sur un autre jour.
- Mais alors, que s'est-il passé? Demanda-t-elle.
- Et bien tout commença en mi-septembre. Etait-ce le 14, le 15, le 16? Je ne le sais plus... quoiqu'il en soit, Umbrella m'avait envoyé, moi et mon époque, à Raccoon City pour reprendre le Virus-G concocté par William Birkin. Ce dernier travaillait pour Umbrella mais ne souhaitait par leur donner ses échantillons de Virus. A cause de cela, mes hommes ont dû l'abattre puis ils ont pris les malettes contenant tout les essais du virus T... mais ils ont fait une grosse erreur.
- Ah oui? Laquelle?
- Ils ne l'avait pas tué... et Birkin s'injecta un échantillon de Virus-G qui le transforma en monstre sanguinaire... il massacra toute mon équipe, même-moi j'ai cru y passer. Toutefois, j'ai pu m'échapper en emportant une fiole contenant ledit Virus. Malheureusement, dans la bataille, les malettes se sont ouvertes et les fioles du Virus-T se sont écrasées sur le sol. Logiquement, se sont les rats qui ont répandu le virus à travers les égout et qui a entraîné la contamination de la ville.
Horrifiée, Licia comprit enfin ce qu'il s'était passé à Raccoon City, pourquoi toutes ses créatures étaient apparues... et qui avait provoqué la mort de son amant.. et le principal fautif se trouvait juste devant elle, de rage, elle se jeta sur lui le frappant de ses poings.
- Salaud, pleura-t-elle, c'est à cause de toi que la ville est devenue morte et que Kevin est mort!
Puis elle se retourna vivement et alla se réfugier sous un arbre, pleurant à chaudes larmes. Le cœur fendu, Hunk ne la rejoignit par pour autant, il attendit quelques minutes avant de la retrouver, là, il attendit qu'elle termine de pleureur. Et enfin, Licia se sécha les larmes et dit:
- Je... je suis désolé... je n'aurai pas dû...
- Ce n'est rien, répondit Hunk d'une voix douce et calme, pleine de gentillesse, je comprends... je voulais te dire pourquoi je suis ici, après avoir donné le Virus au Chef de la White Umbrella, je suis reparti pour une nouvelle mission mais en route, je suis tombé sur Albert Wesker. Il voulait que je travaille pour lui, j'ai refusé, évidemment. Mais il m'a juré qu'il tuerait ma mère et ma sœur si je ne le faisais pas...
Il ne termina pas sa phrase car il commença à pleurer... mais entre deux sanglots, il termina:
- Je n'avais pas le choix...
La jeune eut de la pitié pour ce pauvre homme, il avait fait du mal indirectement mais c'était pour sauver ses proches...
Licia aurait fait pareil.
Et c’est ainsi que sous un arbre, deux personnes pleurèrent ensemble histoire de vider leur tristesse.
Et comme par hasard, cet arbre était un saule pleureur...

Encore un chapitre top qualité, on s'agenouille et on respecte. J'ai ma petite idée sur le calme, mais je suis pas sur...

Au fait: http://weskernhunk.ytmnd.com/

J'aimerais en être l'auteur...

chapeau pour ce chapitre!

tu parle de Hunk!!!
c'est devenu mon perso favori de RE depusi RE4 en mercenaire!!
soigne le bien hein??^^
oublie pas qu'il est surnommer M. Death et pas pour rien.
(si tu le fais mourir, fais lui une superbe fin!!! contre Wesker si possible^^)

son histoire c'est ta propre imagination ou bien tu t'inspire de sources diverses?

d'ailleur si quelqu'un pourrait me filer des adresses ou on en apprends sur lui, je sais presque rien de lui a part l'episode du Gvirus.
j'aimerai bien me documenter.

metalexevil a écrit:

tu parle de Hunk!!!
c'est devenu mon perso favori de RE depusi RE4 en mercenaire!!

http://hunkre4.ytmnd.com/
Neckbreak power!

joo-liii... vivement qu'il sorte sur ps2

Je te ferais remarquer que Ville Maudite est LA raison pourquoi je suis venu sur le forum d'Outbreak...

Au fait tu viens pas dans la Battle Arena?

c'est toi qui vois, mais fouille un peu les forum RE, poru voir qi ya pas trop de boulet style el glad ou samlatouff

Et merde ça fait longtemps que je ne suis pas venu j'avais un ptit pror de connexion au site, et maintenant c'est le retour des cours bon ya pas de nouveau chap ouf et tant pis.

Bon bon ben j'essairai de venir quand je peux parceque là je pars à Bordeaux et j'ai pas internet là bas :'(